Ça vous dégoûte de la culture et, moi, j’écris donc sur nos chats. Eux, ils connaissent des limites animales, pas humaines, repoussées à l’aide de médicaments et de dopants.
Ce n’est pas tout « chat », après deux ou quatre trajets de l’autre côté du Mans du fait des grèves de salariés, on s’est pointés à l’hôpital à quinze kilomètres entre nos deux villes, pour s’entendre dire qu’il fallait voir avec le pôle santé Sud du département ─ qui, comme les hôpitaux belges, sera de plus en plus privé pour des questions d’argent, donc réservé aux hauts fonctionnaires à la retraite... j’en ai ma claque ! En plus, ils sont à cent dix kilomètres aller-retour !
Je suis fatigué et électrique, mais je n’ai pas envie de fermer ma bouche, comme adorent que je le fasse certains, « côté sœur ». D’ailleurs, je ne sais pas si vous avez remarqué, je ne l’ouvre pas, car c’est à qui aura raison… du plus faible (et à qui, de gauche, capitalisera le plus pour, à la retraite, voter à droite). Civisme, quand tu nous tiens... Maman, ça, c’est entre toi et moi, et émancipe-toi aussi de ta fille, après t’être émancipée de ton mari.
Allez, bises, je n’ai pas à coucher mes chats, ils se couchent seuls. D’ailleurs, Lila dort en toute confiance sur mes genoux. Normalement, ne pouvant pas avoir d’enfant, nous n’avons pas à fêter Noël. Je sais que ça, c’est difficile à comprendre.
Observer des chats caricature l’humain : un chat, pour certains, « ça sert à rien », pour d’autres, « les humains sont comme des cochons : on les engraisse et on les bouffe ». Maman, je ne parle pas de toi, pas de paranoïa. Toi, tu es comme moi, quelqu’un qui se fait bouffer. Merci de ne pas raconter ma vie à ta fille ; entre elle et moi, il n’y a pas d’amalgame à faire : les premiers arrivés sont les mieux servis ; elle est arrivée en 61, moi en 63 ; et papa en 30, toi en 36, c’est ça, la vraie loi que je vis.
Et là, c’est un échange, je demande juste que ma vie reste privée. Ma sœur a l’art de me casser, comme mon père, pour tout foutre par terre dès qu’on lui montre un égard. J’ai pris mes distances et les garderai. Je sais bien que tous les deux croient bien faire, mais ils servent d’abord leurs intérêts, leurs arrières aussi, et moi, on augmente mon traitement : fragilisé ne veut pas dire qu’il faut en abuser. M’offrir des vacances, des vraies, aurait été responsable. Pas chercher à économiser une pièce de deux euros de pourboire pour montrer à ma sœur que son seul cadeau de seize euros de randonnée en raquettes dans le Massif central avait été amorti. J’étais censé me changer les idées sur une semaine, ma sœur a tout gâché en me faisant une scène de trois quarts d’heure en public pour deux euros de reconnaissance, à m’en faire cracher toute l’eau de mon corps en larmes à la quarantaine ! Au bilan, une hospitalisation en 2008, car pas de récupération entre deux, hospitalisation dont je commence à me remettre. »
Après ces quelques mots, je reprends mon calme, grâce à « mes femmes... »
Linou, me dit Christiane, qui est contente, en bonne mère adoptive et infirmière, a mangé à deux reprises, ce matin, et semble en recherche d’affection. Elle se rapproche d’elle-même de nous, elle a pris un repas léger hier soir et a senti ma main droite à cinq centimètres.
Nous faisons une bonne équipe avec Lila, mais celle-ci doit penser à elle plus qu’à son estomac, car elle boit du lait de Linou, le soir, même si elle en laisse parce que je le lui dis.
Le thermomètre parlant se déclenche seul : 20,8 degrés dedans, 8,6 dehors, mais la machine le répète trop souvent. Je vais vers elle et sans que j’y touche, elle s’interrompt. Je le dis à ma Kiki : « Cet appareil n’est pas une machine, c’est une dame ! » Kiki me répond : « Quoi ? Tu impressionnes les dames ? »
Shuco Souris. Non fonctionnant.
Schuco. Mercedes 1902. Référence 1239. Boîte usagée
Schuco. Mercedes 1902. Référence 1239. Neuf en
Schuco. Pingouin. Référence 940. Neuf en boîte.
Schuco. Voiture de course 1050. Occasion.
Rappelez-vous :
Les retraités sont précieux :
Nous sommes plus précieux que n'importe quelles nouvelles générations :
Nous avons de l'argent dans les cheveux.
Nous avons de l'or dans les dents
Nous avons des pierres dans les reins
Nous avons du plomb dans les pieds et. .
Nous sommes bourrés de gaz naturel
Envoyez ceci à tous ceux qui ont besoin de rire quotidiennement!
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