Voilà ce qu'un schizophrène peut écrire, mais surtout penser, complètement déstabilisé par des événements qu’on ne devine qu’un peu, dans ce méandre. Quand il l’écrit, il le pense et est en grande souffrance (allant jusqu’à dix fois une souffrance physique, à ce qui s’est dit à la télévision). Ma sœur a fait ce qu’elle a pu, mes parents aussi, le ministre de même, peut-être. Mais ces plaies toujours prêtes à s’ouvrir à la moindre alerte semblent inguérissables… Souvent, il se dit que les choses ne peuvent être vues ainsi, mais il ne trouve que l’amour en réponse à cette question, incapable de reprendre pied.
C’est à l’hôpital que je me suis retrouvé de mon propre chef, sachant qu’on m’y aurait emmené de force, sinon dans un établissement psychiatrique. Ma sœur avait décidé de ne pas quitter mon chez-moi pour me faire entendre raison et m’obliger à quitter le musée, donc, à nouveau, le milieu familial, car mes parents m’y rendaient visite quasiment quotidiennement. Elle tenait à me protéger de mon père. Et six ans plus tard, elle se comporte un peu comme lui en me disant d’aller travailler à l’extérieur. Au bilan, une petite resocialisation, un médicament en plus, mais trop peu d’activités motivantes possibles, par manque de moyens. La seule activité restante étant donc de gagner des moyens, mais cela ralentit la guérison. Je dois apprendre à me reposer en dosant l’effort. De toute façon, l’inactivité n’est pas pour moi : même quand je dors, je transpire fortement… épuisé et sous l’effet du médicament qui m’assomme.
Le gros de ce début de mieux-être vient de la femme qui sait me donner l’amour et qui en mérite tout autant. Nous avons même pu interrompre un médicament, mais l’accoutumance étant là, et aussi une petite panique ─ panique que j’avais déjà remarquée à la toute première prise et qui n’a jamais été mienne ─, il a fallu recommencer le traitement. De ce fait, je « m’écrase » souvent et fonctionne en dents de scie au médicament par voie orale, qui me permet mes lucidités quotidiennes, juste avant le manque.
Ma sœur a eu raison de me faire quitter la maison de mon grand-père, même si j’y ai passé les deux premiers mois de ma vie. J’ai eu espoir sinon de récupérer cette maison, au moins de conserver le musée et son enseigne comme atelier. Il y a du passé dans mon histoire qui ne sera jamais guéri et ma pauvre sœur, qui a la franchise de ses actes, s’attire des foudres, juste retour du bâton, mais je le rends trop fort, l’ayant malgré moi trop intensément reçu.
Ma mère appelle Kiki pour des conseils pour la raclette. Tout est bien.
Circus boy. Neuf en boîte.
Circus boy. Incomplet. Fonctionne.
Cirque sept pièces.
France. Circus car. Neuf en boîte.
Un type qui demeure en province possède un chien et il en est fou!
Un jour, il voit dans le journal qu'à Paris, ils procèdent à
une opération qui permet au chien de parler. Ça coûte 5000€.
Il regarde son fils et lui dit: tu pars à Paris avec le chien!
Son fils très heureux part avec le chien et 5000€ en poche...
Rapidement le jeune dépense tout l'argent et se demande tout
à coup comment affronter son père et lui annoncer que le chien n'avait
pas été opéré et qu'il n'avait plus un sou en poche....
Donc, il mange tranquillement dans un petit resto tout en
réfléchissant... peut-être est-il mieux de ne pas rentrer à la maison?
Il prend le téléphone et appelle son père!
"Ça fait 4 jours que je n'ai pas eu de tes nouvelles! Et le
chien?"
"Ha! Le chien va très très bien... J'ai essayé de téléphoner
mais c'était toujours occupé! il devait y avoir un problème avec le
téléphone."
"Et le chien, il parle?"
"Il n'arrête plus! Il parle, Il parle....Au fait est-ce que
tu couches toujours avec ta secrétaire?"
"Qui t'a dit cela?"
"Mais le chien!"
"Fais-le piquer et rentre à la maison tout de suite !!!!!"
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