II – Règlement de comptes
… qui en a marre d’être pris pour plus bête qu’il n’est, que ce site soit un lieu de « bien-penseurs » et non de penseurs.
PS à Madame @Hélène Villerva : Je vous ai invitée pour échanger, discours strictement professionnels sur le monde où j’exerce, même si rien ne prouve que nous tomberons d’accord (nous ne tomberons pas bien bas), c’est un lieu de partages, vous n’avez pas daigné répondre. Je ne vous demande pas les deux chandeliers qui étaient sur la photo, mais d’échanger entre personnes cultivées et de savoir-vivre. Ce post était trop riche : je ne suis pas un moine esthète, je serais plus épicurien, mais n’en faites rien, je ne suis pas moine, encore moins trappiste ou curé : « Aussi disait-on dans la ville : Quand l’évêque ne fait pas chère de curé, il fait chère de trappiste (Hugo, Les Misérables, t. 1, 1862, p. 27) ». Même si nous n’arrivons pas aux mêmes conclusions, j’ai espoir de récupérer mon post pour en faire l’argument de mon prochain livre, que j’ai commencé et qui s’intitule Les petits saints. Sans sa forme, ma mémoire n’étant pas parfaite, je ne puis continuer mon œuvre.
Je sais que j’ai du talent et n’en resterai pas là, misérable.
Cordialement,
Cosette
Citation 1 sur le « paraître » : « Pour quelqu’un qui savait ce qu’était le beau, il (elle) savait surtout peu voir le faux, car n’a jamais eu d’attirance pour la beauté intérieure (si ce n’est pour la détruire, assouvir). Pour aimer le beau, il lui aurait pourtant fallu des sens, avec ses yeux, et pas ce seul sens (unique). »
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